Οὐκοῦν ταῦτα γιγνώσκοντα φῶμεν, même quand il n’y aurait point ἦν δ’ἐγώ, qui se trouve dans trois manuscrits, parmi lesquels ceux de Florence et de Munich. Et si Schneider demandait pourquoi je sacrifie ici le manuscrit A de Paris aux deux manuscrits de Munich et de Florence, que tout à l’heure j’ai sacrifiés au manuscrit A, je répondrais qu’en effet je préfère tantôt une famille de manuscrits, et tantôt une autre, selon les suggestions de la raison. Rien de plus conséquent. Schneider lui-même, malgré son système, change d’autorité à tous momens et il fait bien.
Dans la traduction j’ai donné à καὶ la force de ἢ, mais sans lire δειλὴ ἢ καὶ ἄγρ. ni changer καὶ en ἢ ; car tous les manuscrits sont unanimes. La note de Schneider ne laisse rien à désirer. — Ce passage est la donnée des Rivaux.
Quel est le sujet de λάϐῃ ? Ce ne peut être μουσικη, car le sujet de λάϐῃ doit être celui de ποιήσας, qui suit