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sera donc pas un malheur pour lui (le sage) de perdre un fils, un frère ; tandis que le texte porte : Un malheur affreux, δεινόν. Grou dit encore : Lorsqu’un pareil accident lui arrivera, il ne s’en affligera pas. Le texte porte : Il ne devra pas s’en lamenter, ὀδύρεσθαι.


Page 136. — Bekker, p. 117 : οἱ θεῶν ἀγχίσποροι…

Le tragique, cité aussi par Lucien, est évidemment Eschyle dans la Niobé, au rapport de Strabon, liv. XII. Voyez la dissertation d’Hermann sur la Niobé et sur ce passage (Opusc., t. III, p. 58).


Page 144. — Et modifie en nous l’extérieur, le ton et le caractère. Bekker, p. 124 : καὶ κατὰ σῶμα καὶ φωνάς…

Stallbaum propose de lire : καὶ κατὰ σχῆμα, parce que, selon lui, σῶμα comprendrait φωνάς, qui alors deviendrait inutile. Mais σῶμα n’est point ici le corps proprement dit, c’est l’extérieur, corporis habitudo, plutôt que corpus ipsum.


Page 147. — Plus il sera porté à tout imiter. Bekker, p. 127 : πάντα τε μᾶλλον διηγήσεται.

Il est vrai que presque tous les manuscrits et toutes