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dans le texte : καὶ δεῦρο παρ’ ἡμᾶς. Cette transposition modifie tout le sens de la phrase.


Ibid. — Eh bien, est-ce une partie si pénible de la vie ; comment la trouves-tu ? Bekker : πότερον χαλεπὸν τοῦ βίου, ἢ πῶς σὺ αὐτὸ ἐξαγγέλλεις.

Le voisinage de γήραος οὐδῷ fait soupçonner à Schleiermacher que χαλεπὸν τοῦ βίου est aussi un fragment de poète. C’est une pure hypothèse inadmissible et inutile. Si l’on veut exprimer tous les sous-entendus, la phrase entière serait : πότερον ἐξαγγέλλεις αὐτὸ (τὸ γῆρας) (εἶναι τὸ ou τι μέρος) χαλεπὸν τοῦ βίου. Stallbaum lit χαλεπὸν τοῦτο τοῦ βίου pour τοῦτο μέρος τοῦ βίου. Mais outre que τοῦτο n’est dans aucun manuscrit, τοῦτο serait fort peu élégant avec αὐτό, qui suit presque immédiatement. Quelques manuscrits ont : τὸ τοῦ βίου, et cette leçon est fort convenable, elle reviendrait à la locution française : le bon, le difficile, le fâcheux de l’affaire, de la chose, etc. Schneider entend τοῦ βίου, comme une sorte d’enclitique, ainsi que dans cette locution : τοῦτο θαυμάσιον ἡγοῦμαι τοῦ βίου pour τοῦτο θαυμάζω.


Page 7. — Ils trouvent que tu dois moins à ton caractère qu’à ta grande fortune de porter si