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en certitudes, et démontré toujours rigoureusement que les endroits de l’Euthydème qu’il signale comme mégariques contiennent en effet quelques points de la doctrine de cette école, encore si peu connue.

Nous finirons, comme M. Deycks lui-même, en rappelant la remarque de Schleiermacher, qu’à la fin du dialogue, lorsque Platon intervient dans la personne de Socrate, on sent dans ses paroles une tristesse secrète de voir l’argumentation socratique si rapidement dégénérée en la même argumentation sophistique que Socrate avait combattue de toutes ses forces.

FIN DU TOME QUATRIÈME.