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Scène IV
GRÉGOIRE, NÉRINE, PASQUIN.
GRÉGOIRE
Mais drès que tu me vois, tu fui comme la foudre.
PASQUIN, à part
Demeurons, puisqu’il faut tôt ou tard s’y résoudre.
GRÉGOIRE
Par ce que t’és féru de ste grosse gâgui ?
Gnia pa gran mal à ça ; sis-je eun je ne sai qui ?
Est-ce que tu me pran pour eun fagot d’épeine ?
Loin de t’en vouloir mal, je veux que tu la prenne.
NÉRINE
Votre avis seroit-il, s’il étoit assez fou…
GRÉGOIRE
Mon avi, s’i te pran, c’est de le prande itou.
NÉRINE
J’accepte le marché ; mais c’est pourvu qu’il tienne.
GRÉGOIRE
ça tiant pu qu’on ne veut ; va, n’en sois pas en peine.
NÉRINE
Si je redevenois fille dans quelque temps ?
GRÉGOIRE
Fille ?