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C’est mon plus cher désir, cède à ta passion !
Qu’elle se laisse foutre, et, de son sale con,
Qu’elle verra bientôt tomber en pourriture,
Le clitoris rongé deviendra la pâture
De tous les maux connus, dont ton ignoble vit
Est depuis si longtemps et la source et le nid !…
Va donc empoisonner ta nouvelle guenuche !
Je ne t’arrête plus…

PINCECUL.

Tu me fais chier… Cruche,
Chez le marchand de vin allons boire un canon…

CRUCHE.

Quand on m’offre cela, je ne dis jamais non.
(Cruche et Pincecul sortent.)