PRÉFACE. iij
l’èrecbrétieoDif, iui?antFabneiu8% ou au commenoement ilu II* siècle, floiTant le célèbre ValckenaCr, à qai Ton en doit lu dernière piihlicalion On regarde généralement le Iraitéd’Ammonius comme la base de la synonymie grecque j maia eD l’étudiant à fond, on ne tarde pas à reconnaîm ,que ce McueiU tel qu*il est Tsaii josk|u’à noas, ne ptnt élre alliibué à on grammainen philosophe. Âmas oonfot de scholies souvent applicables à un-seul auteur et presque toujours en conli adiclion avec Tusagc, il ne présente en général que des vestiges trés-impai faits d’un livre sans dottlp plus complet» qui ne nous est parvenu que mutilé par 1« miin du temps, et grossi peut-être de dictées scho* lastiques et de gloses margiuales ou interlinéalres. Ce n’est point ici le lieu de discuter les questions critiques et historiques que 1 auteur el le livre mériteraient de sou- lever j mais je devais en donner une idée exacte pout fixer Topigion de ceux qiie son autorité pourrait égacerj et constater son utilité pour 1^ recberehes de la synony- mie grecque.; car il faut reconnaître qu*on y trouve dei documents précieux, des traditions curieuses pour l’his- .loire, et des obser atioiis importantes pour la grammaire.
A la suite d’Ammonius viennent tous les grammairiens, dont les plu^ importants sont-Phrynicbus*, Mœriâ*, XluH, mas Magister *, auteurs de nomenclatures des mots at«« tiqjiés; les lexicographes Hésychius , Suidas; le Grand ’Étymologique, Poilux, auteur d ûn Onomaslico/it espèce
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