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quatre passages véritablement intraduisibles ; j’ai interprété le sens, quand je l’ai pu, dans les notes qui suivent chaque chapitre et, en dépit de ce qui a été dit plus haut, je n’ai pas négligé de recourir aux variantes des manuscrits du Louvre pour élucider la leçon du papyrus de Turin. Du reste, tout en priant le lecteur de m’excuser de le renvoyer à mes propres ouvrages, je crois qu’une étude fructueuse de celui-ci est impossible sans s’aider de mon Dictionnaire d’archéologie égyptienne et de mon Panthéon égyptien dont l’Index constitue un petit dictionnaire mythologique ; ce dernier livre contient des dissertations sur la doctrine religieuse qui, je l’espère, donneront l’explication de bien des passages obscurs.


Paris, 27 octobre 1881.