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l’éducation en angleterre

d’un titre nobiliaire), lesquels sont privilégiés de maintes façons, mais qu’il partage leurs plaisirs hippiques et autres ; le sport nautique l’attire, et il devient un rameur de première force. Il se lie d’étroite amitié avec un servitor, caractère fier et ombrageux qui souffre d’une position subalterne et du dédain des riches. Cependant, à travers les péripéties de sa vie joyeuse, ses idées se forment et son bon sens le guide vers un autre idéal. L’auteur fait toucher du doigt à son héros tous les abus d’alors et, sans doute, lui prête ses propres raisonnements ; et la première année se termine dans le tourbillon de cette semaine de fêtes qu’on nomme la Commemoration, pendant laquelle on danse follement sous les vieux portiques. La seconde année sera plus sérieuse. Tom se rapproche de ceux qui ne se contentent pas comme lui du diplôme ordinaire et aspirent aux « honneurs ». Du sport toujours mais aussi des discussions politiques et sociales des penchants philanthropiques qui se dessinent et le travail qui prend le dessus. Il est temps, car si les premiers examens sont faciles, le dernier ne se passe pas si aisément,