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la chronique

l’église de France. Le grand prestige moral que celle-ci s’acquiert par la dignité silencieuse avec laquelle elle supporte un malheur dont elle n’est point responsable lui prépare assurément des jours meilleurs, mais dans un avenir qui ne saurait être prochain. Il y a d’ailleurs de l’irréparable dans la dispersion des biens ecclésiastiques qui va s’opérer.