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la chronique

donnent l’impulsion à une recherche individuelle du savoir ; elles ne valent que comme point de départ. S’il en était autrement, si le visiteur ignorant devait n’en retirer que la certitude d’être devenu savant et l’usage de quelques-unes de ces formules absolues qui sont « la forme naturelle de la pensée inculte », ce serait très grand dommage.

Peut-être, après tout, a-t-on trop répété que l’Exposition était une École ; ce n’en était, ce n’en pouvait être que le vestibule.