à bord du Pétrel, pour empêcher, s’il était besoin, le retour de Van de Boot et pour se venger, si possible, de Kerbiquet. Mais il avait prévu le cas où son déguisement serait percé à jour, et où il serait lui-même ignominieusement chassé — ce qui était arrivé. Et il avait voulu, alors, laisser sur le yacht quelqu’un muni d’instructions spéciales, et qui pût l’aider, le moment venu, à l’exécution de ses plans.
Johann Wurtzler était certainement cet homme-là, puisqu’il avait abominablement grisé Leurzon, pris sa place, et reçu les ordres du Chinois.
Mais ce qu’ils avaient comploté, c’est ce que nous n’avons pas pu apprendre encore, malgré notre curiosité légitime, et ce que la suite des événements, seule, pourra nous découvrir. Contentons-nous de constater, pour le moment, que le Pétrel emportait, en s’éloignent, une vipère avérée, sous la forme d’un mécanicien bavarois.