Cette page n’a pas encore été corrigée
Il a saisi ensuite un des avirons. (page 23)
CHAPITRE ii
LE MANUSCRIT DE CORNÉLIUS VAN DE BOOT
« Mes chers amis, mes très honorables collègues.
« Je vous écris ces lignes, les dernières que je tracerai jamais, peut-être, d’une petite île déserte, déserte d’humains tout au moins, qui doit se trouver au sud du cap Horn. »
— Cap Horn ? fit remarquer un des académiciens. Qu’allait-il faire au cap Horn, qui n’était pas sur sa route ?
— Attendez, mon cher collègue, répondit le président. Si Van de Boot a été au cap Horn, c’est qu’il avait probablement de bonnes raisons.
— Certainement ! appuya Wilhelmine.
Et la lecture continua :
21