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ACTE V.
Scène première.
NERINE, DAPHNÉ.
NERINE.
Phénice, j’aurais peine à croire cette histoire,
Si ton étonnement ne me la faisait croire.
DAPHNÉ.
Après tant d’accidents laisse-moi respirer,
Ou bien plutôt, mon cœur, laisse-moi soupirer.
Et par l’extrême bien dont me comble Tyrène,
Juge ici du loyer que je dois à sa peine.
Et quoi sans être ingrate et mériter la mort
Dont il vient d’affranchir mon misérable sort.