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NOTES

DU DEUXIÈME CHANT.




(1). PAGE 49, VERS 5.


Et long-temps au travail sa misère enchaînée.

« Et duris urgens in rebus egestas. »
(Géorgiques. I. ier.)

(2). PAGE 50, VERS I.


Il apprit à compter, à nommer les Hyades…

« Navita tum stellis numeros et nomina fecit,
Pleiadas, Hyadas, claramque Lycaonis Aseton. »
(Ibid.)

(3). PAGE 53, VERS 4.


Prélude sur sa lyre, et commence en ces mots…

« Dans le même temps, le divin Orphée prit en main sa lyre, et, mêlant à ses accords les doux accents de sa voix, il chanta comment la terre, le ciel et la mer, autrefois confondus ensemble, avaient été tirés de cet état funeste de chaos et de discorde ; la route constante que suivent dans les airs le soleil, la lune et les autres astres ; la formation des montagnes, celle des fleuves, des nymphes et des ani-