Il est vrai que cet auteur suppose que chez ces peuples, dont les connaissances astronomiques étaient si grossières, les prêtres avaient conservé des traditions plus exactes qui venaient d’un peuple plus ancien.
. . . . . . . . . .Et dans ses cavités
Syène voit du jour descendre les clartés.
« On lui montra aussi les gnomons horaires, qui à midi ne fournissent point d’ombre, parce que le rayon solaire étant vertical à Syène le jour du solstice d’été, la lumière est également répandue de toute part, et ne donne lieu à aucune ombre, tellement qu’au fond même du puits, la surface de l’eau est éclairée en entier. »
- (Éthiopiques d’Héliodore, liv. 9.)
- (Lucain, I. 2.)
Il (le phénix) s’abreuve aux rayons source de la lumière.
Assnetus prohibere sitim, sed purior illum Solis fervor alit, ventosaque pabula libat Tethyos, innocui carpens alimenta vaporis.
(Claudien, le Phénix.)
Raconter la merveille au Céphise charmé.