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NOTES

Il est vrai que cet auteur suppose que chez ces peuples, dont les connaissances astronomiques étaient si grossières, les prêtres avaient conservé des traditions plus exactes qui venaient d’un peuple plus ancien.


(13). PAGE 102, VERS 4.


. . . . . . . . . .Et dans ses cavités Syène voit du jour descendre les clartés.

« On lui montra aussi les gnomons horaires, qui à midi ne fournissent point d’ombre, parce que le rayon solaire étant vertical à Syène le jour du solstice d’été, la lumière est également répandue de toute part, et ne donne lieu à aucune ombre, tellement qu’au fond même du puits, la surface de l’eau est éclairée en entier. »

(Éthiopiques d’Héliodore, liv. 9.)
« Umbras nusquam flectente Syene. »
(Lucain, I. 2.)

(14). PAGE 104, VERS 18.


Il (le phénix) s’abreuve aux rayons source de la lumière.

Non epulis saturare famem, non fontibus ullis

Assnetus prohibere sitim, sed purior illum Solis fervor alit, ventosaque pabula libat Tethyos, innocui carpens alimenta vaporis.

(Claudien, le Phénix.)

(15). PAGE 105, VERS 20.


Raconter la merveille au Céphise charmé.