Page:Pierre Corrard - Les Opalines, 1908.pdf/61

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LES HEURES D’ANGOISSE

La nuit dans le parc se promène,
Majestueuse et souveraine ;
Sur ses pas se lèvent des chuchotements,
Et la lune,
Qu’importune
L’aboiement
Douloureux et funèbre
Et lointain,
Dans les blanches ténèbres,
D’un mâtin
Garde-ferme,
Derrière un volet de nuage s’enferme.