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ment des pierres tumulaires, ce qui réduit les ventes de terrain faites jusqu’à ce jour, à la somme approximative de 526,000 fr.

Le quart de cette somme ayant été versé dans la caisse des hospices, il reste un total de 394,500 fr., ce qui donne, pour les vingt années écoulées depuis 1812, une moyenne de 19,725 fr. de recette pour chaque année.

En effet, on voit figurer au budget de la ville, pour l’année 1833, au chapitre des recettes ordinaires, une somme de 24,000 fr., sous le titre de ventes de terrain pour sépultures particulières, avec l’indication que pour l’exercice 1832, la recette, pour le même objet, a été de 19,831 fr.

Pour pouvoir consentir de nouvelles ventes de terrain, l’administration a cherché à agrandir le cimetière : elle a acquis de M. l’abbé Caille et de Me Fayolle, une portion de terrain au midi de sa propriété, de l’étendue de deux hectares environ.

Elle a disposé, dans ce nouvel espace, 158 masses de cinq mètres sur chaque face pour monumens, et l’emplacement nécessaire pour contenir 880 pierres tumulaires, ce qui doit