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IV
onc, l’été a fui, puis l’automne ;
voici l’hiver ! Croyez-vous que le
maître se repose ? Non, certes. Sur
sa tête il a neigé, mais le cœur est resté jeune.
Pour oublier la souffrance maudite qui l’assiège
trop souvent, il travaille toujours, au contraire,
et il se console de ne pouvoir marcher dans les
allées sinueuses du jardin en traduisant son
cher Horace. Encore un triomphe ! Les éditions
se succèdent, et l’ermite de Passy se met à
traduire Virgile — en vers cette fois. — Il vit,
paisible et honoré, indulgent et cordial, au