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jules janin

viens volontiers ; mais en revanche, ô mon lecteur ! ne garde-t-elle point, je vous prie, ce je ne sais quoi, ce duvet juvénile, cette ineffable senteur d’avril qui pénètre, qui réchauffe, et que rien ne remplace ? Allons, allons, croyez-moi, il ne faut pas toucher à ces choses-là. »