viens volontiers ; mais en revanche, ô mon lecteur !
ne garde-t-elle point, je vous prie, ce je
ne sais quoi, ce duvet juvénile, cette ineffable
senteur d’avril qui pénètre, qui réchauffe, et
que rien ne remplace ? Allons, allons, croyez-moi,
il ne faut pas toucher à ces choses-là. »