maître regretté une aussi grande preuve de son amitié dévouée.
… Ce livre est écrit par un des hommes qui connaissaient le mieux la personnalité intime de Jules Janin. Il offre donc un très-réel intérêt par son imprévu anecdotique et l’attrait de ses révélations littéraires.
… Cet ouvrage pourrait fournir un modèle de biographie, tant par la forme qui est ciselée avec amour, que par le fond qui présente aux lecteurs un portrait frappant de vérité.
… Il restera toujours un rayon sur le nom de Jules Janin… a dit Paul de Saint-Victor. Ajoutons que ce rayon vient d’être définitivement fixé par M. Piedagnel. Nulle ombre ne l’obscurcira. L’hommage du disciple est digne du maître. Il fait revivre l’ami défunt en un style que le traducteur d’Horace eût été heureux d’applaudir. M. Piedagnel a écrit son livre avec l’esprit de son cœur. Mente cordis sui.
Le Figaro (M. Francis Magnard)[1], la Liberté, le Bien public (M. Louis Ulbach), le Gaulois (M. Édouard Moriac), le
- ↑ Le Figaro, et beaucoup d’autres journaux, ont fait à plusieurs reprises des emprunts au livre de M. Piedagnel, en accompagnant ces citations de notes excellentes.