Page:Piedagnel - Jules Janin, 1877.djvu/195

Cette page a été validée par deux contributeurs.
3
DE LA PRESSE

lent style, ce volume donne aux indifférents le moyen de bien connaître Jules Janin, et à ses amis l’envie de l’aimer davantage[1].

Armand de Pontmartin.


journal officiel.


… Ce volume est un touchant hommage rendu à l’homme de bien, au grand critique, à l’écrivain délicat ; et vraiment ils sont heureux et rares les artistes privilégiés qui laissent après eux des amitiés aussi solides, aussi sincères !

Alphonse Daudet.


l’évènement.


… M. Alexandre Piedagnel a raconté avec émotion, avec charme par conséquent, toute l’heureuse vie littéraire de Jules Janin…

Louis Ratisbonne.


la patrie.


… Ce petit livre exquis où l’on se retrouve si bien dans la familiarité souriante et causeuse de l’aimable maître ; où, pour la première fois, il semble s’être arrêté pour se laisser mieux saisir, c’est un ami du bon Jules Janin qui s’en va par le monde lui faire de nouveaux amis, en disant ce qu’il fut, en racontant ce qu’il chérissait : les bons cœurs, les aimables esprits et les beaux livres.

Édouard Fournier.


l’écho universel.


L’auteur de Barnave et des Gaietés champêtres est né sous une favorable étoile, il aura eu du bonheur jusques après sa

  1. Publié d’abord en feuilleton (numéro du 6 décembre 1874, de la Gazette de France), l’article si remarquable de M. le comte A. de Pontmartin, sur l’ouvrage dont il s’agit, forme tout un chapitre du tome XI de ses Nouveaux Samedis (Paris, Michel Lévy frères, 1875).