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tioles, espérant qu’un jour ses malades se cotiseront pour lui ériger une fontaine dans une des places de Paris, au lieu de lui témoigner sa reconnaissance à sa porte, de manière à la rendre quelquefois inabordable ; mais M. d’Armentières voudra bien se réserver mon trépan, pour accompagner le squelette du chien qui lui est destiné.

» Je serai très flatté si le professeur Marjolin veut bien admettre mes dalhias dans sa belle collection. Je désire lui prouver par là que je n’ai pas oublié la gracieuseté avec laquelle il a donné mon nom à l’un des siens.

» Enfin mes manuscrits seront remis à l’auteur du PERROQUET de Walter Scott, et si ce legs lui était agréable, je ne serais encore quitte qu’à moitié envers lui après le plaisir que m’a causé son admirable Conte anatomique, avec l’introduction qui le précède dans le tome iie" de cet ouvrage, etc, etc.

» Tels sont, mon cher Paul, les principaux légataires du docteur Terence Valésien. Savez-vous qu’il laisse à M. d’Armentières une fortune de quarante mille livres de rente, et que celui-ci est bien récompensé de sa fidélité platonique à la veuve du défunt. Il n’est pas à Paris en ce moment, et ses amis attendent avec curiosité sa détermination. »


Ces lettres faisant connaître à peu près tout ce qui pouvait intéresser les lecteurs de cette histoire, relativement aux personnages qui y ont figuré, l’auteur réserve le reste pour la continuation, s’il se décide à en faire une.



FIN.