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CHAPITRE XV,


Où il est prouvé qu’un duel ne prouve rien.




There all have kindness, most relief, — for some
Is cure complete, — il is the sufferer’s home :
Fevers and chronic ills, corroding pains,
Each accidental mischiefs man sustains.
Fractures and wounds, and wither’d limbs and lame,
With all that, slow or sudden, vex our frame
Have here attendance — here the sufferers lie,
(Where Love and Science every aid apply)
And heal’d with rapture live, or sooth’d by comfort die[1].

Crabbe.


— Lucile, il est six heures ; avertissez, je vous prie, M. Paul, et faites-nous servir le

  1. Là tous sont traités avec bienveillance, la plupart soulagés, — quelques uns complètement guéris. C’est la maison de tout homme souffrant. Fièvres, maladies chroniques, maux accidentels, fractures, blessures, membres paralysés ou estropiés, ce qui mine notre santé ou l’attaque soudainement, on soigne tout ici ; — ici les
    malades trouvent un lit : l’amitié et la science viennent à leur secours ; ceux qu’on peut guérir vivent avec bonheur, les autres meurent consolés par les soins qu’on leur prodigue.