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étourdie de cette scène, Odille, à qui son rôle défendait toute résistance contre de si tendres adieux. Isabelle était dans son berceau, pleurant d’effroi à la vue de ces deux inconnus : M. d’Armentières l’embrassa paternellement.
Un des gendarmes ne put retenir ses larmes.
Après un redoublement de caresses d’époux et de père, M. d’Armentières dit enfin aux agents : — Je suis à vous, messieurs, partons.
La femme de chambre avait eu le temps de s’habiller et d’accourir, le jardinier et sa femme s’étaient aussi levés ; tout ce monde vit le prisonnier sans trop distinguer ses traits.