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point d’entreprendre du pied des Pyrénées au-delà des Alpes, si je rencontre, chemin faisant, quelque anecdote généalogique de la famille italo-arlésienne qui puisse me procurer l’occasion d’établir plus clairement encore cette distinction, je ne la négligerai pas.

Maintenant je n’ai plus de compte à régler qu’avec les critiques : In manus corum commendo spiritum meum. Je ne saurais dire comme Goldsmith en tête de son délicieux Vicaire de Wakefield : « Il y a cent défauts dans cet ouvrage, et je pourrais prouver que ce sont cent beautés ; » mais j’espère que ce qu’il y a de bien dans mes deux volumes obtiendra grâce pour ce qui pourrait être meilleur. Mon plus mortel ennemi aurait fait un bon livre, que je ne me priverais pas du plaisir de le lire et de déclarer que je le trouve bon. S’il existe encore parmi nous de ces critiques qui n’ont