Page:Picard - L Instant eternel.djvu/76

Cette page a été validée par deux contributeurs.


« Je suis celle qui veut, qui sait et qui s’accepte,
« Mon ombre, sur le sol, est comme un vase pur,
« Et ce m’est comme un noble, un lumineux précepte
« Que de voir ce tilleul s’élever vers l’azur… »

Puis, mes yeux où passa l’oubli du paysage
Se fermèrent… Ce fut plus encor de clarté…
Dans mon âme, longtemps, vécut votre visage…

Et seulement, alors, je te connus, Beauté…