Page:Picard - L Instant eternel.djvu/53

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Je vous ai, tout à coup, chéri du fond de l’être,
À vos pieds j’ai jeté mon destin et mes dieux,
Il n’a fallu qu’un peu de ciel sur ma fenêtre,
L’heure, l’Amour dans l’ombre, et mes yeux et vos yeux…