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Ta détresse est si grande et ton chagrin si fort
Qu’au sort je t’abandonne,
Attends austèrement le vouloir de la mort
Et la saison d’automne.

Attends… Il te viendra, pourtant, cette douceur
Que rien ne peut te prendre,
La douceur, cœur souffrant, de n’être plus un cœur
Et de ne plus t’entendre…