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des âmes ou Palingénésle. V. les Éclaircissements, 469.

Existences antérieures d’Empédocle, d’Iarchas, de Palamède, de Pythagore (Voyez ces noms), d’Apollonius, 113, 265.

Seconde existence d’Amasis et de Télèphe (V. ces noms).

Musonius. Philosophe persécuté par Néron, 173.

De sa prison il entretient un commerce de lettres avec Apollonius, 185.

Il est enchaîné et condamné à des travaux manuels, 201.

Néron. Veut percer l’isthme de Corinthe, 162.

— Persécute les philosophes, 174.

— Fait l’histrion devaut les Romains, 174, 181.

Jugement d’Apollonius sur Néron, 176.

— Entretien d’Apollonius sur Néron, acteur et citharède, 190.

— Néron meurtrier de sa mère, 177.

— Un citharède espion de Néron et délateur, 178.

— Néron concourt à Olympie comme acteur, comme chanteur et comme citharède. Il remporte une triple victoire, 190 et suiv.

— Conspiration de Vindex contre Néron, 194 et suiv.

Nerva, adversairede Domitien, 292.

— Relations d’Apollonius avec Nerva et ses amis, 292 et suiv.

— Avènement de Nerva, 390.

Nil (le), fleuve d’Égypte. Rapports entre le Nil et l’indus, 231.

— Ses cataractes, 270 et suiv.

— Dieux qui président à ses sources, 272.

Nil, le plus jeune des Gymnosophistes, 240.

— Déclare à Apollonius qu’il veut devenir son disciple, 253.

— Il le suit à Alexandrie, 274.

Oracles. Pourquoi la Pythie rend ses oracles en vers, 251.

Oxydraques. peuplade indépendante et guerrière, qui fait profession de philosophie. Ses rapports avec Alexandre, 84.

Palamède, héros troyen, à la fois brave, savant et vertueux. Sa haine contre Ulysse, qui l’a calomnié, et contre Homère, qui l’a négligé, 113.

— Pourquoi Homère l’a négligé, 155.

— Son âme est passée dans le corps d’un Indien, 113.

— Apollonius rend hommage à son tombeau, et l’appelle son maître, 150.

Pans. Êtres qui avaient un buste humain, des jambes et des pieds de boucs. Chargés par Hercule et Bacchus de monter à l’assaut de la citadelle des Brachmanes, ils y furent foudroyés, 104.

— Le grand Pan, sa mort annoncée à un pilote, 465.

Philosophes. Satire des philosophes grecs contemporains d’Apollonius. Ces philosophes comparés aux sages indiens, 80 et suiv.

Les diverses sectes de la philosophie chez les Grecs, 245.

La tyrannie est l’épreuve des philosophes. Exemple de courage de quelques-uns, 287.

Philosophie des Brachmanes. Voir ce qui est dit de leur science, 108 ; de leur croyance à la métempsycose, 110 ; de leurs opinions sur le monde, sur le dieu suprême et les dieux inférieurs, 125 et suiv. — Ce dieu suprême est sans doute le Soleil, qu’Apollonius, comme les Brachmanes, et avant de connaître les Brachmanes, adorait par-dessus tout, 90, 105, 124. Ailleurs il semble le nommer Jupiter.

Philosophie d’Apollonius. La philosophie d’Apollonius n’est exposée de suite que dans son Discours aux Gymnosophistes, encore l’est-elle d’une manière incomplète. C’est une sorte d’exposition de la doctrine de Pythagore, telle que l’entendait Apollonius, 244, 253. — Voir ses divers entretiens et discours à l’art. Apollonius ; — ses Lettres, 408, 413.

— En général, l’enseignement philosophique d’Apollonius est opposé à celui de Socrate comme plus absolu, plus détaché des choses de la terre, 141.

— Esquisse d’une philosophie panthéiste dans les Lettres, 416.

1. Religion. Culte du Soleil (V. ce nom).

Prière ordinaire d’Apollonius aux dieux, 179.