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impuissance commune à tous, des organes de la sensibilité et de la respiration. On en donnerait une idée plus juste en les mettant en appendice à la suite des autres sous-types, seuls vrais et seuls importans démembremens des vertébrés. Ce n’est pas toutefois que les reptiles ne piquent vivement la curiosité ; c’est chez eux, quant aux détails, que les écarts de la nature sont les plus grands. Ce qu’on a vu d’une manière nette dans un groupe, devient de nouveau le sujet d’un problème dans un autre, puis dans un troisième : mais plus ils sont susceptibles de ce degré d’intérêt, et moins il convient de s’attacher à eux, si l’on en est encore à la recherche des plus simples et des premières lois de l’organisation.

J’ai néanmoins examiné leurs osselets du tympan, et je dois avouer que plus renfermés, sous le rapport de ces pièces, dans des conformations classiques, ils ne donnent pas trop lieu cette fois à l’application de l’opinion que j’en ai prise. Leurs osselets du tympan diffèrent peu de ceux des oiseaux ; nous les décrirons avec les osselets de ces derniers.

J’ai réservé pour la dernière la plus forte objection, « Comment, m’opposera-t-on, admettez