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caisse, où il me paraît qu’elle est nécessairement ; c’est-à-dire, entre le temporal, le mastoïdien et, le tympanal ; d’où il résulte que cela marche au fond, comme dans les mammifères : plus d’anomalies ; tout est fidèle à l’ordre des connexions ; seulement l’aile temporale, au lieu d’être comme ramassée en boule et repliée sur elle-même, est composée de pièces écartées, comprimées et étalées ; circonstances, qui, si dans nos comparaison nous prenons l’anatomie de l’homme pour point de départ, seront regardées comme ayant influé sur le sort des quatre osselets de l’oreille, de manière, à en faire dans les poissons des os aplatis et appropriés aux fonctions de l’opercule. Mais du moins cette influence ne s'est pas étendue jusqu’à faire varier la position respective de ces quatre osselets. Ces os, sous le rapport de leurs connexions, présentent les considérations suivantes.

Je compare directement l’opercule des poissons aux quatre osselets du tympan chez l’homme. Leur description et leur figure ont été si souvent reproduites que chacun se les rappelle : ils ne diffèrent pas en nombre, et ne variant pas essentiellement de forme, surtout dans les mammifères. On peut consulter sur cela les observations consignées dans la treizième leçon d’anato-