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cer dans la situation la plus avantageuse pour l’étude comparative des détails. A quoi sommes-nous redevables de cette heureuse position ? C'est évidemment au principe que nous venons de signaler, à ce principe qui nous dispense de parcourir de degré en degré toutes les transformations des organes, et qui, lorsque ces moyens de recherches nous abandonnant, nous sert encore, et nous peut toujours servir de guide ; au principe des connexions.

Des services aussi essentiels nous révèlent l’importance de ce principe ; mais il est en outre très-facile die démontrer qu’il n’y a rien d’arbitraire dans son essence, et qu’on peut y apercevoir tout autre chose qu’une proposition abstraite.

Suivez l’idée qu’en peut donner la souche même des organes. Les principaux vaisseaux, qui sont les filières, d’où (comme dans l’exemple que nous nous sommes proposé), le fluide nourricier se porte à l’épaule, au bras et à l'avant-bras, ne s’arrêtent pas où se termine ce dernier. Ces