Page:Philosophie anatomique des organes respiratoires.djvu/32

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

plante ou la totalité de ses parties osseuses, pour former la base de la colonne servant de support au tronc : il n'y emploie que les métacarpes et les doigts dans les martes, les doigts seulement dans les chiens ; deux sur trois des phalanges digitales dans les lions et dans les chats ; la dernière de ces phalanges dans les sangliers ; enfin, il ne touche le sol que par un point dans les ruminans et les solipèdes, n’y consacrant pas même une partie de cette dernière phalange, mais seulement l’ongle qui en emboîte l’extrémité. »

C’est alors, ajouterons-nous encore, qu’on en vient à retrouver, reportées a la jambe (sous d’autres formes et avec des fonctions différentes), celles des parties de la plante du pied, qui sont sans contact avec le sol, pendant la marche, chez un grand nombre de quadrupèdes.

À ce point de notre revue, nous voici parvenus à considérer, comme à vol d’oiseau, notre sujet, à l’embrasser dans ce qu’il offre de plus général, et à nous pla-