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velles ? Si j’ai la conviction qu’on m’ait attaqué sans m’avoir compris, je me dispenserai de répondre. Car à quoi bon se tourmenter pour prouver qu’on a eu raison ? Le temps met chaque chose à sa place.

Je ne traite dans cette première partie de l’ouvrage que d’une des questions dont se composera ma philosophie anatomique ; des pièces osseuses des appareils respiratoires. J’espère, dans une suite, m’occuper des pièces servant d’enveloppes ou de soutien aux organes des sens et du mouvement ; puis des muscles, etc.

Une suite, ai-je dit ?… Quoique j’en aie déjà réuni tous les élémens, il pourra se faire qu’elle ne paraisse jamais. L’arrêt du public sur la première partie réglera le sort des suivantes.

Cependant je donne cet ouvrage avec la confiance qu’il est relativement à moi tout ce qu’il pouvait être : il ne m’était pas donné de mieux faire. Je me suis de même occupé avec le plus grand soin de sa composition matérielle.