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à la portée de ces mêmes choses et comme appliquées à leur surface et s’ils s’y trouvent réunis en si grand nombre ; on est frappé de la simplicité et de l’harmonie d’une pareille combinaison. Quoi de plus simple effectivement et de mieux approprié à son objet ; que ces longs godets aponévrotiques qui se gorgent de sang pour aller comme le déposer continuellement sur des masses oxygénées ; que ces tuyaux’rångés parkllèlethent et suspendus avec tant de symétrie à leur tronc commun ; que ces filets des branchies qui, en se lissant sur les mokecules mobiles du liquide ambiant, réussissent à lui dérober de préćieuses seimentes, et à opérer par lå la’fuvivification du fluide nourricier ! L’air retëhu entre les molécules de l’eau ; était sans ressbrt pöur allér gonfler les poumons d’animaux immergés dans le bassin des mërs c’est’alors le poumon qui, échappé de la cavité óu däns les autres vertébrés il est profondément renfermé ; va se placer toiut au milieu de eet élémént, dans la nécessité’où il 3st, pour se lea approprier ; d’en disputèr les molécults a Peau.

  • Mais toutëfois cette influence du miliett où vi

tent les poissons, le déplacement de leur organa respiratoire, et cette altération des formes on a jugée așsez grande, pour avoir substitué le nom de branchies au nom de poumons que porte ail ..