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part que vous prenez aux choses qui me touchent. Je vous en suis bien obligé ; & je vous prie de croire que j’aurai toujours beaucoup de joie quand je pourrai trouver des occasions de vous faire connoître que je suis, &c.



REPONSE de M. Flechier
au P. Bontous, Jésuite.
A Montpellier, ce 10 Janvier 1609.


[1] Quoique vous me donniez, mon Révérend Pere, des louanges que je n’ai pas méritées, & que vous fassiez pour moi, au commencement de cette année, des souhaits qui ne peuvent pas être accomplis, je ne laisse pas de vous en être sensiblement obligé. Ce sont des hyperboles d’amitié que le cœur fournit à l’esprit, qui ne servent pas à persuader, mais qui

  1. Cette Lett. n’avoit pas encore été imprimée.