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cher Frere, pardonnez à ma jeunesse ces réflexions, mais sachez en gré à mon amitié. J’ai voulu vous écrire dans l’époque la plus importante de votre vie, & mon cœur a volé pour cela jusqu’à vous : c’est lui qui m’a dicté tout ce que cette lettre contient ; il vous aime trop, pour avoir pu se tromper. Je suis avec toute l’amitié possible, mon cher Frere, votre sœur, &c.