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PHÈDRE, FABLES.

façon d’agir, Simonide accepta pour ne pas se brouiller tout à fait avec lui. Il vint à l'heure dite et prit place : le repas, égayé par le choc des coupes, était resplendissant, et toute la maison en fête résonnait d'un joyeux tapage. Tout à coup deux jeunes gens tout couverts de sueur et de poussière, à la figure d’une majesté plus qu’humaine, chargent un esclave de dire à Simonide de venir, qu’on l'attend, et qu’il est de son plus grand intérêt de se presser. L’esclave tout ému entraine Simonide, qui n’a pas plutôt mis le pied hors de la salle, que le plafond s’écroule et écrase tous les convives. Cependant les jeunes gens n’étaient plus à la porte. Dès que l’on apprit cette tragique histoire, on ne douta plus que ce ne fussent les dieux reconnaissants qui étaient venus sauver la vie à leur poëte.

EPILOGUE

LE POËTE A PARTICULON

Il me reste encore bien des fables à vous raconter : car les sujets

Ne maie dimissns gratiam oormmperet, Promisit. Rediil hora dicta, recubuit. Splendebal hilare poculis conviviura ; Magno api>aratu lœta resonabat domus, Duo quam repente juvenes, spar»i pu^ere^ Sudore multo dirfluentes corpora, Uumanam supra formam, cuidam sermlo Mandant ut ad se provocet Simonidem ? lUius interesse ne faciat moram. Homo perturbatus excitât Simonidem. Unum promorat yix pedem tridinio, Ruina camene subito oppressii ceteros ; Née ulli juvenes sunt reperti ad januan. Ut est vulgatus ordo narrât» rei, Omnes scierunt numinum pnesentianc Vati dédisse vitam mercedis loco.

EPILOGUS

rOETA AD PAhTICOLO ?(C !f

Adtiuc super>uut r.ulla, qux possim loqr.i, Et copiosa abuudal rcruni varie tas ;