Page:Peyrebrune - Les Freres Colombe.djvu/80

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Puis il ajouta, s’appuyant à l’épaule d’Annibal, avec un ton de doux reproche et un sourire d’une consolation céleste :

— Nous ne devons pas nous plaindre de la destinée puisqu’elle nous a fourni l’occasion de faire un peu de bien.

Annibal répondit aussitôt en baissant la tête :

— C’est juste.