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mes, 41. Assiste au siége du château de Pène, 101. Sa prudence fait suspecter ses intentions, 105. Il fait perdre à Montluc l’occasion de battre les ennemis, 106. Va assiéger Montauban, 113. Se retire à Montech, 114. Se joint à Montluc, et consent à livrer bataille à l’ennemi, 137. (Comm. de Montluc.)

Burte (le capit. La) tue à la bataille de Cerisolles un gentilhomme qui se trouve sans armure dans les premiers rangs français, XXI, 28.

Busenval est envoyé par le Roi pour travailler à la paix entre le roi d’Espagne et les Provinces-Unies, XLVIII, 57.

Bussac (le seign. de) assiste au siége de Jargeau, VIII, 181.

Bussy (Hub. de Clermont d’Amboise, seign. de), est tué au siége d’Yssoire, XLV, 152.

Bussy d’Amboise (le seign. de) est tué à la bataille de Marignan, XVI, 297. (Mém. de Fleurange.) — Est fait prisonnier à la bataille de Guinegaste, XVII, 241. Est tué à la bataille de Marignan, 265. (Mém. de Du Bellay.)

Bussy d’Amboise (le seign. de) rend la ville d’Alexandrie et revient en France, XVII, 453.

Bussy d’Amboise (Louis de Clermont de) s’attache au duc d’Alençon ; éloge qu’en fait la princesse de Navarre, XXXVII, 72. Est attaqué par une foule de gentilshommes pendant la nuit ; échappe sain et sauf au danger, 74. Par le conseil du duc d’Alençon, il s’éloigne de la cour, 77. Est arrêté, 149. Est délivré, et par ordre du Roi fait sa paix avec Quélus, mignon du Roi, 155. (Marg. de Valois.) XLV, 162, 163. Est tué par le seigneur de Montsoreau ; détails à ce sujet, 191 ; et sur lui, 192. Vers faits contre sa mémoire, 193. (Mém. de l’Estoile.)

Bussy-Le-Clerc, un des chefs les plus ardens des Seize, entre dans la grand’chambre à la tête d’une troupe armée, et conduit à la Bastille les magistrats qu’il croit royalistes, XX, 220. (Introd.) — Se rend à la tête de cavaliers armés au parlement, et y fait prisonniers le prem. présid. de Harlay et 22 conseillers, XXXVI, 127. (Mém. de Cheverny.) — Présente à l’assemblée des Seize un grand papier blanc, invitant tous les membres à signer après lui les articles du serment de la Ligue, qu’on rédigera après les signatures, XL, 367. Remet au duc de Mayenne la Bastille, moyennant sa vie sauve ; tous ses biens et meubles sont pillés ; il se retire à Bruxelles, où il vit misérablement, 385. (Mém. de Cayet.) — Conduit à la Bastille le présid. de Harlay et un grand nombre de conseillers, XLV, 383. Noms de ceux qui l’accompagnent, armés comme lui de pistolets ; leurs extorsions dans les maisons bourgeoises, 384. S’emporte contre le prés. Brisson, qu’il accuse d’être favorable à la paix ; il lui dit qu’il mangera plutôt son propre enfant que de se rendre jamais, XLVI, 80. Fait signer dans une assemblée des Seize un grand papier blanc qu’il doit remplir d’après la formule adoptée d’un nouveau serment d’union, 186. Exhorte en vain le peuple au meurtre et au pillage, 196. Remet la Bastille au duc de Mayenne moyennant la vie sauve, 215. Sa maison est pillée ; on y trouve 600,000 francs, 226. (Mém. de L’Estoile.)

Buzancès (Phil. Chabot, comte de), amiral de France, est nommé lieutenant général du Roi en Italie ; noms des chefs et capitaines qui l’accompagnent, XVIII, 307. Campe devant Turin, 310. Passe la grande Doire, 311. Marche sur Verceil, 319. Ses opérations militaires après la dépêche que lui envoie le cardinal de Lorraine, 376. Revient en France, après avoir pourvu à la défense des places du Piémont ; noms des capitaines qu’il y laisse, 455.