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Maurice, 184. (Comm. de Rabutin.) — Sa conduite avec M. de Guise pendant le siége de Metz inspire de la défiance à ce prince, XXXII, 270 et suiv. Il devient suspect au connétable, qui se met en garde contre lui, 280. Danger qu’il court dans une escarmouche, 348. (Siége de Metz.)

Albert, duc de Saxe, est nommé par le conseil des princes allemands pour lieutenant du roi des Romains en Flandre, X, 459. Fait la guerre à Phil. de Clèves ; reprend sur lui plusieurs places, 461.

Albert, archiduc d’Autriche, vient au secours de la ville d’Amiens, assiégée par Henri ivXXXVI, 328. Est forcé de s’éloigner, 329. Devient gouverneur des Pays-Bas par son mariage avec l’infante d’Espagne ; remet son bonnet de cardinal, et se défait de tous ses bénéfices, 349. Publie une déclaration contre les Hollandais et les autres huguenots des Pays-Bas ; troubles qu’elle occasionne, 379. Met le siége devant Ostende ; grands secours que ses sujets lui fournissent, 500. Longue durée de ce siége, 501. (Mém. de Chevemy.) — Son départ d’Espagne pour aller dans les Pays-Bas, XLIII, 255. Son entrée à Bruxelles, 256. Il envoie des secours à La Fère, 257. Se rend à Boulogne, 260. Prend la ville de Calais par composition, 261. Assiége et emporte de force le château, 262. Investit la ville d’Ardres, 263. S’en rend maître par composition, 264. S’en retourne en Flandre, 265. Fait le siége de Hulse, 266. Accorde une capitulation à cette ville, 273. Vient en France au secours de la ville d’Amiens ; arrive à Dourlans, 362. Est forcé de se retirer, 364. (Mém. de Cayet.) — Fait le siége d’Ostende, XLVII, 315. Détails sur les opérations de ce siége, 318, 324. (Mém. de L’Estoile.) — Envoie à Paris faire des propositions de paix, XLIX, 348. (Mém. de Groulard.)

Albertin (le comte d’), attaché au duc de Ferrare, envoyé auprès du roi Charles viii pour traiter de la paix, lui conseille de ne pas la faire, XIII, 169.

Albigeois (secte des) ; son origine, son caractère ; croisade publiée contre eux, II, 36.

Albigny (le sieur d’), commandant de Grenoble pour la Ligue, rend cette place au sieur de Lesdiguières, XL, 199.

Albigny (le sieur d’), coupable de trahison envers le duc de Savoie, et condamné à mort, choisit celle du poison, le duc lui ayant laissé la liberté du choix, XLVIII, 101.

Albret (le sire d’) se rend auprès du prince de Galles pour marcher contre Henri de Transtamare, IV, 400. Est auprès de ce prince à la bataille de Navarette, 412. Parle au prince de Galles en faveur de Duguesclin, 447.

Albret (Alain, sire d), comte de Gavre, etc., vient au secours du duc de Bourbon, XI, 351. (Mém. de Comines.) — Séduit par l’espoir de devenir héritier du duché de Bretagne, se met en route avec des troupes ; est arrêté sur les confins de l’Angoumois ; promet de renoncer à ses desseins, XIV, 169. Arme de nouveau, et se rend en Bretagne, 173. (Tabl. du règ. de Ch. viii.)

Albret, seigneur de S.-Basile, fils cadet du comte d’Albret, est fait prisonnier à Lectoure, et décapité à Poitiers, XIII, 433.

Albret (Bernard d’), parent du connétable d’Albret, défend avec opiniâtreté la ville de Ham ; offre en vain de capituler ; fait une sortie, et parvient à se joindre aux princes confédérés, VI, 295.

Albret (Ch. d’), est nommé commandant en Guyenne, V, 375. (Mém. de Christ. de Pisan). — Est fait connétable, VI, 250. Reprend cette dignité qu’on lui avoit enlevée, 312. Prend le commandement de l’armée française ; veut empêcher les Anglais de passer la Somme, 319. Se rend à Rouen, où est la cour ; est d’avis qu’on adopte les propositions du roi d’Angleterre, 320. Insiste pour qu’on rouvre les négociations, 321. Est fait prisonnier à la bataille d’Azincourt, 322. (Tabl.