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d’hommes et d’argent, 505. Envoie attaquer le sieur La Trinité, dont les troupes sont défaites ; noms des capitaines qui ont part à cette expédition, 507. Le Roi ayant envoyé le chevalier de Sèvres en Piémont pour s’assurer de l’état des choses, le maréchal le charge de représenter au Roi la nécessité de l’armée, et la conduite qu’il a dû tenir à l’égard des ennemis, 510. Tient un conseil dans lequel il est résolu qu’on livrera bataille à l’ennemi, pour faire lever le siége de Santia, 518. Cette résolution, envoyée au Roi, est remise par lui à l’expérience et au jugement du maréchal, 521. Nouvelle forme de combat imaginée par Brissac, 522. Tombe malade à Turin, 524. Envoie au Roi le jeune Tilladet, chargé d’instructions et de rendre compte du siége de Santia, 525. Noms des capitaines que le maréchal recommande à la bienveillance de S. M., 528. Charge du commandement pendant sa maladie M. le duc d’Aumale, 530. Écrit aux capitaines qui font le siége de Vulpian, pour se plaindre de ce qu’ils n’ont pas suivi ses ordres ; il leur commande de travailler aux mines qu’il a ordonnées, 535. Il se fait porter à l’armée, 539. La garnison de Vulpian capitule, 540. Le maréchal dépêche au Roi le capitaine Pasquier, commissaire des guerres, pour lui annoncer cette nouvelle, et représenter ce qu’il y a à faire pour la suite des opérations, 541. Sa sévérité envers un gentilhomme qui a quitté l’armée sans congé, 546. Il envoie son frère Gonnor auprès du Roi avec des instructions sur les affaires de la guerre ; texte de ces instructions, 547. Reçoit avis de la ligue offensive et défensive contractée avec le Roi et le Pape, XXX, 4. Reçoit l’ordre de S. M. de rester en Piémont, 6 ; et nouvelle de la conclusion d’une trève entre l’Empereur et Henri II, 10. Envoie au marquis de Pescaire demander un passe-port pour messieurs de Tilladet, de Noailles et de Rambouillet, 12. Ses efforts auprès du marquis de Pescaire pour obtenir réparation et restitution de tout ce qui a été fait par l’ennemi au préjudice de la trève, 19. Éloge du maréchal par don Alvaro de Sande, 21. Est appelé auprès du Roi pour dire son avis sur l’alliance conclue avec le Pape ; quel est son avis, 26. Nouvelles plaintes au Roi sur l’état où il laisse les affaires du Piémont, 31. Mémoire à ce sujet envoyé par le sieur de Rambouillet, 33. Donne au Roi communication des dispositions du capit. La Trinité à servir S. M., et à remettre les places de Cairas, Fossan et Coni, 42. D’après la volonté du Roi, casse un régiment de 4,000 Suisses, 43. Marche sur Vignal, 44. Assiége cette place, 45. S’en rend maître, 46. Sa conduite généreuse envers le capitaine Pagan, 47. Récompense ceux qui ont pris les drapeaux napolitains, 48. Comment il punit et récompense tour à tour le nommé Boissy, qui est monté à l’assaut contre les lois de la discipline militaire, 49. Il avertit le Roi de se défier des propositions du capitaine La Trinité, 54. Retourne en France, après avoir remis le commandement à M. de Termes, 56. Sa patience et sa modestie, 57. Il donne de nouveau son avis sur la ligue conclue avec le Pape, 59. Retourne en Piémont, et envoie à M. de Termes des ordres pour mettre les troupes en état de faire la guerre, 68. Adresse au Roi des remontrances sur la négligence qu’on a apportée à fournir l’armée du Piémout des choses nécessaires, 74. Lui donne avis de l’arrivée de M. de Guise à Turin, 75. Conférences entre ces deux seigneurs sur l’expédition dont le duc de Guise est chargé, 76. Tous deux envoient au Roi un mémoire que Boivin Du Villars est chargé de porter, 77. Le maréchal passe le Pô à Valence, et jette l’épouvante dans Milan, 90. Défend au seigneur d’Amville de rompre une lance avec le marquis de Pescaire, 94. Envoie au Roi de nouvelles remontrances pour le