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mis, exécutée le 3 août 1553 par le connétable ; texte de ce mémoire, 228. A ordre d’assembler diligemment une armée volante de 5 à 6,000 Français, et de 1200 chevaux, pour entrer en Franche-Comté, 233. Il envoie des renforts à S.-Damian et au château de La Cisterne, 235. Donne des ordres pour la défense de cette place, 239. Approuve la conduite et l’opinion de Montluc, 240. Signe avec Gonzague une capitulation pour la liberté des prisonniers de guerre, 243. Répond aux reproches qu’on lui fait sur le peu d’économie qu’il apporte au maniement de la guerre, 250. Reçoit du Roi une réponse honorable sur sa valeur et sa fidélité, 251. Forme une entreprise sur Verceil ; par qui elle lui est suggérée, 252. Comment il l’exécute, 253. Se rend maître de cette ville, 258. Tient un conseil pour savoir s’il attaquera le château, 259. Le reçoit des mains du capitaine, 261. Refuse d’enlever le saint suaire qui est dans l’église cathédrale de Verceil, 262. Il sort de la ville en bataille, 263. Opère heureusement sa retraite jusqu’à Turin, 264. Il reçoit avis du Roi que S. M. l’a choisi pour succéder au connétable dans le cas où la mort le lui enlèveroit, et l’ordre de se tenir prêt à revenir en France au premier avertissement, 271. Reçoit de nouveaux avis du Roi sur les dispositions favorables de la reine d’Angleterre, et sur le projet de S. M. de conduire une armée en Allemagne, 274. Prend la résolution d’attaquer Valfénières, 281. Fait ses dispositions à cet effet, 282. Ayant appris la défaite de Strozzi, il resserre son armée, 290 ; fait des dispositions pour attaquer le général Figueroa, 292. Pourquoi il perd l’occasion de vaincre, 293. Il reçoit deux députés de Sienne, chargés de lui demander des secours, 300. Délibère sur leurs propositions, et les envoie au Roi pour obtenir son approbation sur les mesures qu’il juge nécessaires, 304. Prend la résolution d’attaquer Ivrée, 306. Cette place est attaquée ; dispositions faites par le maréchal pour un assaut général, 308. La ville se rend par capitulation, 309. Brissac demande au Roi de l’argent pour la fortifier, et des renforts de troupes, 310. Assiége le fort de Mazin, qui se rend par capitulation, 312. Reçoit des députés des Ligues et de la vallée d’Aost, qui le prient de ne point porter les armes dans cette vallée, et de les laisser vivre en paix, 315. Renvoie leur demande au Roi, 316. Prie Sa Majesté de lui accorder les revenus de Mazin qu’elle a injustement attribués à La Fayette ; obtient cette faveur ; reçoit des députés du Valais qui lui annoncent que les Valaisans sont résolus à soutenir ceux de la vallée d’Aost, 317. La réponse ferme qu’il leur fait est approuvée par le Roi, 319. Il adresse à S. M. des remontrances sur la nécessité de régler le paiement de l’armée de mois en mois, 320. Le maréchal et plusieurs de ses capitaines sont loués et gratifiés par le Roi, 321. L’armée réunie marche sur Santia, 322. Dispositions faites par Brissac pour fortifier cette place, 324. Il renouvelle ses instances pour obtenir de l’argent, qui lui est envoyé à divers temps, 328. Va trouver le marquis de Masseran, et règle les conditions auxquelles il servira le Roi, 329. Sa réponse aux seigneurs des Ligues, 331. Ses remontrances au Roi sur l’ordre qui lui a été envoyé de se retirer dans ses garnisons font changer de résolution à S. M., qui loue la conduite du maréchal et lui promet des secours, 333. Il se plaint au connétable de la lenteur des paiemens de l’armée, 334. Au Roi des vaines promesses qu’on lui a faites ; envoie un état des choses qui lui sont nécessaires, 337. La capitulation de campagne est de nouveau confirmée avec le général Figueroa, 338. Le maréchal se plaint au Roi que ceux qui sont en Piémont, quelle que soit leur qualité, ne reçoivent aucune grâce ni récompense, 339. Adresse de nouvelles remontrances sur le