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y fait, 54. État des troupes françaises réparties dans les villes et châteaux du Piémont ; troupes à peine suffisantes pour les garder, 56. Le maréchal fait raser Passeran, 58. Engage ses capitaines à entreprendre le siége de la citadelle de Lanz, 62. Détails sur ce siége, 65. La place capitule, 67. Vimercat en est nommé commandant, 71. Brissac, par sa diligence, force l’ennemi à la retraite, 74, et fait rentrer ses troupes dans leurs garnisons, 75. Demande au Roi le revenu de Lanz pour Bonnivet, 80. Envoie à la cour son fière Gonnor pour informer le Roi de l’état du Piémont, 82. Se sert d’un expédient subtil pour ravitailler S.-Damian, 84. Reçoit le colonel Fiolie, commandant les Suisses qui viennent d’arriver dans le Piémont, et se félicite de les avoir pour compagnons et auxiliaires, 86. Comment il est trompé par un moine qui s’engage à lui livrer Cairas, 88. Il obtient du Roi que Lamotte-Gondrin conservera sa compagnie d’infanterie ; envoie ordre au capitaine Vassé de s’aller jeter dans S.-Damian, menacé par les ennemis, 92. Découvre le projet formé par S.-Aubin de livrer Marseille à l’Empereur, 95. Approuve le projet de Birague de surprendre Milan, et en dirige l’exécution, 104. Pourquoi ce projet échoue, 110. Le Roi le loue et le console en même temps sur cette entreprise, 113. Le maréchal adresse des conseils au Roi sur les secours qu’il a promis aux princes d’Allemagne, et cherche à le détourner de cette alliance, 120. Fait fortifier la bourgade de Bra, et en donne le commandement au capitaine Du Solier, 125. Sur la proposition que lui lait Frégose de Gênes de livrer cette ville aux Français, il envoie ce même Frégose au Roi pour prendre ses ordres, 127. Se jette dans Carmagnole, pour être à portée de secourir les places que les ennemis pourroient attaquer, et favoriser la moisson, 132. Assiége Dronier, 133, et le reprend sur les ennemis, ainsi que Versol et Saluces, 134. Force la ville de Busque à capituler, 136. Signe une capitulation de campagne avec Gonzague, 139. Fait fortifier S.-Martin, 146. Se rend maître de la ville et du château d’Albe ; détails sur cette entreprise, 147. Le maréchal reçoit du Roi avis de ce qui se passe en Allemagne et sur la frontière, 155. Des opérations du siége de Térouenne, 164. De la mort du roi d’Angleterre, 175. De la victoire de Maurice de Saxe sur le marquis de Brandebourg, 177. De la prise de Hesdin par les Impériaux, 178. Il fait fortifier la ville d’Albe, 179. Prend plusieurs châteaux dans la province des Langues, tels que Gravesanne, Serreval, Dogliani ; fait grâce au capitaine espagnol Léon de Bellegarde, 181. Marche vers Sève, dont il fait attaquer le fort et s’en rend maître, 183. Fait battre ensuite la ville, qui capitule, 184. Attaque et prend les deux petites villes et le château de Courtemille, 189. Reçoit la soumission des autres places voisines, 192. Instruit que Gonzague marche sur Villeneuve d’Ast, il assemble ses capitaines, les consulte, et leur propose de livrer bataille, 193. Cette proposition est unanimement adoptée, 195. Il donne des ordres en conséquence, 196. Les deux armées se rencontrent dans la plaine de Butiglières, 198. Une trève de 40 jours est conclue entre les deux généraux, 202. Entrevue qu’ils ont ensemble, 203. Reçoit du Roi des instructions à l’occasion de la trève, 205, et des lettres du connétable sur les avantages qu’il a remportés dans le Hainaut, 207. Assiége Cameran, s’en rend maître, et fait sauter le château, 211. Rase Baudicher et Tiglioles, 212. Vient au secours d’un corps commandé par d’Aubigny, attiré dans une embuscade, 213. Adresse des conseils à son frère Cossé Gonnor, nommé gouverneur de Metz, 226. Reçoit de la part du Roi un mémoire sur la déroute de 4,000 chevaux des enne-