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par le Roi d’aller au secours de Corbie, XXI, 477. Il y entre avant que les Espagnols soient arrivés devant cette place, 479.

Breul (le capit.) est blessé dans une escarmouche devant Bapaume, XXXI, 215.

Breze et Ste.-Gemme (les sieurs de), chefs d’une querelle par suite de laquelle 30 gentilshommes du Poitou et de l’Anjou se battent en duel, XLVIII, 72.

Brezé (le seigneur de), capitaine des Gardes françaises, est tué dans une escarmouche devant Cambray, XXXI, 222.

Brezé (P. de), sénéchal de Normandie, lève 2,000 hommes à ses frais pour Marguerite d’Anjou, et s’embarque avec elle, XI, 241. Ses paroles remarquables au Roi, à l’occasion des négociations avec l’Angleterre, 273. (Introd.) — Est chargé du commandement de l’avant-garde contre les princes ligués ; la mène jusqu’à Montlhéry, où il trouve le comte de S.-Paul, 356. Est tué dans le combat qui s’y livre, 369. (Mém. de Comines.) XIII, 284.

Brezé (P. de), sénéchal de Poitou, conduit et secondé par un meûnier, assiége et prend d’assaut la ville et le château de Verneuil, XI, 12. Entre dans Rouen avec le comte de Dunois, 15.

Brezé (J. de), seign. de La Varenne, sénéchal de Normandie, passe pour gouverner le royaume et les princes de France ; son caractère, IX, 404.

Brezé (Jacques de), fils de Pierre, sénéchal de Normandie, refuse de prêter serment au duc de Berri en sa qualité de duc de Normandie, XI, 418.

Brezé, évêque de Meaux, reçoit la garde du sceau fait par ordre du conseil général de l’Union, XX, 223.

Brezé (le maréchal de) rend un grand service au Roi en s’opposant à ce qu’on laisse à Noyon une garnison d’Irlandais, et s’attire par là la haine du comte de Soissons, LI, 255.

Brezé (le duc de) est tué au siége d’Orbitello, LI, 321.

Briançon, frère du comte Du Lude, est tué d’un coup de canon au siége de Poitiers, XXXIII, 468.

Briandas, fou de François I, devient la cause d’une brouillerie de ce roi avec le Dauphin, XXVI, 71.

Briconnet, évêque de Meaux, fait, sans le savoir, de sa ville épiscopale, le berceau de la réforme, XVII, 78. (Introd.) — Laisse en mourant un testament curieux, XLVIII, 297. (Mém. de l’Estoile.)

Bricotte (le capit.) est tué au siége de Coni, XIX, 395.

Brienne (Ayrart de) va demander au Roi avec Joinville la barque qu’il leur avoit accordée pour descendre sur le rivage d’Égypte, II, 215.

Brienne (J. de), comte de La Marche. Les premières années de ce prince, I, 484. Devient roi de Jérusalem, et beau-père de l’empereur Frédéric ; épouse en secondes noces la fille du roi de Castille ; à 80 ans est demandé pour régner à Consiantinople, 485. À quelles conditions ; ne peut se rendre dans sa capitale que deux ans après son élection, 486. S’embarque enfin, arrive dans sa capitale, 488. Passe en Asie, reprend Piga, demande des secours de tous côtés, 489. Paroît reprendre toute l’ardeur de sa jeunesse dans les préparatifs qu’il fait pour défendre sa capitale, 490. Sort avec une petite troupe pour combattre une armée formidable qu’il met en déroute, 491. Envoie le jeune Baudouin exciter la compassion des souverains de l’Europe, 492. Meurt en laissant Constantinople dans une détresse qui devoit augmenter encore, 493.

Brienne (Gauthier, comte de), prend la croix, I, 100. Est appelé au trône de Sicile, 484. (Mém. de Ville-Hard.) — Récit des malheurs et de la mort de ce prince, II, 348. (Mém. de Joinville.)

Brigandet, capit. des habitans de la ville de Flavigny, refuse géné-