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Aiguillon (le duc d’) ; fils du duc de Mayenne, défend la ville de Laon contre Henri iv ; est forcé de capituler, XXXVI, 280. (Mém. de Cheverny.) — Est envoyé en ambassade vers l’archiduc, XLVII, 317. (Mém. de L’Estoile.)

Aimar, président de Bordeaux, parle aux États de Blois pour l’entretien de la paix, XLV, 148.

Aimerion seconde le captal de Buc à la bataille de Navarette, IV, 410.

Aine (le comte d’), prince d’Arragon, marche à la tête du second corps d’armée opposée au prince de Galles, IV, 404. Combat le conseil donné par Duguesclin, 409.

Ainoy (Guillaume d’) se montre contraire au rétablissement d’Alexis, I, 174.

Aix (Louis d’), viguier de Marseille, exerce pendant les troubles de France une autorité tyrannique sur cette ville avec le consul Charles Casault, XLIII, 206. Comment il en est chassé par l’entreprise du capitaine Liberta et le secours du duc de Guise, 208 et suiv. Il finit misérablement ses jours, 217.

Alard, en Provence, se croise à Citeaux, I, 128.

Alard Macquereau est nommé par le comte Baudouin pour aller à Venise, I, 106.

Albe (le duc d’) se rend à Bayonne, où il trouve la cour de France ; ses longues conférences avec Cath. de Médicis ; quel en est l’objet, XX, 120. (Introd.) — Battu près de Marseille, fait tirer à quatre chevaux un prisonnier français, XIX, 114. (Mém. de Dubellay.) — Se porte vers Rome, XXI, 344. Met le siége devant Ostie, 366. (Comm. de Montluc.) — Assiége S.-Jacques en Piémont sans succès ; se retire à Milan, XXIV, 156. Est envoyé au secours de Marc-Antoine Colonne, et reprend plusieurs châteaux et territoires de l’Église, 184. Est envoyé en Flandre pour apaiser la révolte des gueux, 417. Y exerce l’autorilé royale ; envoie en Espagne le comte de Bure, et fait trancher la tête aux comtes d’Egmont et d’Ornes, XXV, 24. Bâtit les citadelles d’Anvers et de Gand ; force le prince d’Orange, le comte Ludovic et autres à se retirer en France, où ils sont défaits à la bataille de Montcontour, 150. (Mém. de Tavannes.) — Assiége Metz, XXVII, 20. Sa lettre à don Alphonse d’Arbolancgua, 57. (Mém. de Vieilleville.) — Assiége Santia en Piémont, XXIX, 512. S’éloigne de cette ville, trompé par une ruse du maréchal de Brissac, 523. Fait passer son armée dans Pondesturc, qu’il fortifie à la hâte, 514. (Mém. de Du Villars.) — Grands préparatifs qu’il fait faire devant Metz pour l’assiéger, XXXI, 162. Il bat la place avec fureur, 163. Se retire de nuit, laissant ses tentes et bagages, 178. Rassemble 30,000 hommes en Italie, et se porte du côté de Casal, 376. Ravitaille Vulpian, 377. Assiége inutilement Santia, 378. Reprend le chemin de Verceil, ruinant plusieurs forts dans le voisinage de Casal, 380. Fortifie Pondesturc, 384. Entre dans Rome après la paix conclue entre le Pape et Philippe II, XXXII, 116. (Comm. de Rabutin.)

Alberac (Philippe d’), défendant Dronier pour les Impériaux, est fait prisonnier, XXIX, 134.

Albert, marquis de Brandebourg, fait la guerre aux évêques et aux villes impériales, brûle et saccage le pays de Bamberg et de Vicebourg, pille la terre de Henri de Brunswick, XXIV, 108. Est battu par Maurice ; se retire et meurt en Fiance, 109. (Mém. de Tavannes.) — Paroît suivre le parti de la France ; sa conduite équivoque, XXXI, 129. Il demande à se retirer, 136. Ravages que font ses troupes, 138. Il se laisse gagner par l’Empereur, 148. Livre combat au duc d’Aumale, 151 ; défait sa troupe, le fait prisonnier, et va rejoindre l’Empereur, 153. Avec quelles peines il échappe à la poursuite de la garnison de Metz, 180. Comment il se venge de l’abandon où l’a laissé l’Empereur ; est défait dans un combat près de Cologne par le duc