Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/79

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Triht, 410. Accompagne l’Empereur, qui va faire lever le siége de Cibotos, 432. Monte une des galères qui vont au secours de Squise, 440.

Braccioduro, capitaine italien, charge et met en fuite des compagnies de Savoyards qui viennent au secours du château de Buringe, XL, 206.

Bragelonne (le présid.) se défait de sa charge, et est nommé conseiller d’État, XLVIII, 258.

Braiequel (P. de) prend la croix, I, 102. Arrive au camp de Zara, 156. Est envoyé par le comte de Blois à Piga, où il commence la guerre contre les Grecs, 318. Est rappelé par le comte de Blois, 342. Apprend à Pamphyle la triste défaite d’Andrinople, 362. Est blessé au siége de cette place, 382. Conduit le quatrième corps de bataille contre Johannice, 406. Est envoyé au secours de Renier de Triht, 410. Puis en Natolie contre Théod. Lascaris, 422.

Braiequel (Hugues de) prend la croix, I, 102.

Braignant. Il se glisse pendant la nuit parmi les vaisseaux du Roi, et entre dans La Rochelle pour savoir l’état de la place et en informer la flotte anglaise, LI, 97.

Braigue (le capit. La), gascon, est tué à Blois par un soldat qui parvient à s’évader, XLV, 147.

Branas, seign. grec, épouse Agnès, sœur de Philippe-Auguste, I, 63. (Notice.) — Devient le médiateur entre les Grecs et les Français après la bataille d’Andrinople, et reçoit le commandement de cette ville ; son caractère, 84. (Introd.) — Rentre dans la ville d’Apres, dont le régent lui confie la garde, 386. Reçoit la souveraineté d’Andrinople et de Didymothique, à condition d’en faire hommage à l’Empereur, et de le servir dans ses armées, 400. (Mém. de Ville-Hardouin.)

Brancaléon, informé du détestable projet de P. Barrière, vient de Lyon en poste à Melun en prévenir le Roi, XXXVI, 247, et XLVI, 513.

Branche, capitaine anglais, est battu et fait prisonnier au village d’Ambrières par Ambr. Lore, VIII, 129.

Brangonnet, d’Arpajon, accompagne La Hire dans son entreprise contre les Anglais au siége de Montargis, VIII, 126. S’y comporte vaillamment, 128.

Bray (J. de) assiste le duc d’Anjou au siége de Tarascon, IV, 460.

Brederode (de), commandant des Hollandais, bat et met en déroute, près du village d’Eluersele, les Gantois révoltés, X, 108.

Bresse (le seign. de), depuis duc de Savoie, est envoyé à Gênes par Charles VIII, avec les seigneurs Beaumont de Polignac et d’Aubijoux, XIII, 113. Danger qu’il y court, 114.

Bressieu, gentilhomme, est contraint par ordre du Roi de sortir du royaume pour s’être mêlé de la querelle du duc d’Aiguillon et de Balagny, XLVIII, 222.

Bressieu (Maurice), professeur royal de mathématiques, accompagne Fr. de Luxembourg à Rome ; y acquiert une grande réputation ; enseigne plusieurs années à Pérouse, XXXVII, 371.

Bressius, gentilh. dauphinois et grand orateur, harangue le Pape pour le sieur de Luxembourg, XLIII, 401.

Bretelles, écuyer gascon au service du seigneur de L’Escalles, défend une entreprise d’armes contre J. de Chassa, X, 266.

Breton, piémontais, du parti de la Ligue, est fait prisonnier à Yvetot, XXXVI, 210 et 252.

Breton (Le), avocat de Poitiers, publie à Paris un livre rempli de calomnies contre le Roi et le parlement ; il est pendu et son livre brûlé, XXXVIII, 313 ; XLV, 320.

Brette, un des échevins de Paris, attaque le curé de S.-Germain-l’Auxerrois pour avoir taxé le prevôt des marchands et les échevins de larcin et de trahison ; grande rumeur à ce sujet, XLVI, 233.

Breuil (le capitaine) est chargé