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soit brûlée, ce qu’il ne peut prévenir à cause des ordres qu’il reçoit, 425. Est nommé commandant du château d’Émery, qu’il fortifie, 430. Exécute une heureuse entreprise sur la ville de Bains, 431. Par ordre du Roi fait raser le château d’Émery, 436. Est envoyé auprès du Roi pour lui proposer d’assiéger Thionville, 452. Est chargé d’aller avec pleins pouvoirs ramasser dans le Laonnais et le Soissonnais toutes les farines qu’il y pourra trouver, pour les faire entrer dans Landrecies, 467. Comment il exécute cette commission, et fait entrer avec le sieur de Sansac les farines dans cette ville, 470. Va en Piémont porter de l’argent au comte d’Enghien, 491. Arrive à Carmagnole sans avoir éprouvé d’obstacle, 493. Est envoyé deux fois par le Roi pour veiller à la construction du fort élevé devant Boulogne, 582. Est chargé d’achever les fortifications de la Champagne, 607.

Bellay (le chev. Nicol. Du) meurt prisonnier à Naples, XVIII, 78.

Bellefont (le sieur de), du parti de la Ligue, est fait prisonnier par les royalistes dans une sortie qu’il fait de la ville de Soissons, XLIII, 15.

Belleforest publie un livre intitulé les neuf Charles, XLV, 87.

Bellefourrier (le sieur de), commandant de Corbie pour la Ligue, est tué en défendant cette place, qui est prise par les sieurs d’Humières, de La Boissière et de Parabelle, XL, 138.

Bellegarde (le sieur de) rompt une lance avec Guido Piovena, capitaine de 100 chevau-légers de l’Empereur, et le renverse, XXIX, 381. Défait la troupe du capitaine Pierre Pelazza, et le fait lui-même prisonnier avec trois des siens, XXX, 112. Repousse les Impériaux devant Montcalve, 240. Défait un parti ennemi attiré dans une embuscade, 260. (Mém. de Du Villars.) — Est tué dans une affaire entre les protestans et les catholiques au Mont-Saint-Jean, XXXIII, 501. (Mém. de Castelnau.)

Bellegarde, grand écuyer, est envoyé à Florence pour épouser au nom du Roi Marie de Médicis, XXXVI, 464. (Mém. de l’abbé de Pontlevoy.) — Est nommé gouverneur de Quillebœuf ; difficultés qu’il éprouve de la part du chancelier de Navarre, XLI, 72. Entre dans la place, 73. S’y voit bientôt assiégé par le duc de Mayenne ; état où se trouve cette ville, 75. Comment elle est secourue et défendue, 78. (Mém. de Cayet.) — Se distingue au combat d’Arques, XLIV, 566. (Mém. du duc d’Angoul.) — Défend vigoureusement le fort de Quillebœuf contre les troupes du duc de Mayenne, commandées par M. de Villars, XLVI, 269. Son ambassade à Florence, où il épouse pour le Roi la fille du duc, XLVII, 298. (Mém. de L’Estoile.) — Averti qu’on travaille à lui ôter le gouvernement d’Amiens, il a recours à tous ses amis, L, 202. Est fait maréchal de France, 467. Se déclare ouvertement contre le cardinal de Richelieu, LI, 168. (Mém. de Fontenay-Mareuil.)

Bellegarde (le sieur de), gouverneur pour le duc de Savoie du fort Barreaux, est fait prisonnier par Lesdiguières, XLIII, 412 ; XLVII, 224.

Belle-Isle (la marquise de) se rend feuillantine à Toulouse, XXXVI, 431.

Belle-Isle (Charles de Gondy, marquis de), épouse la troisième fille de madame de Longueville. La noce se célèbre dans la maison de la Reine mère, XLV, 357. (Mém. de L’Estoile.)

Bellejoyeuse (le comte Charles de) est envoyé en ambassade auprès du roi de France avec le comte de Cajasse, XIII, 17. Reste à Paris pour avancer l’entreprise de l’expédition de Naples, 18. (Mém. de Comines.) — Discours qu’il adresse au Roi pour l’engager dans cette expédition, XIV. 207. (Tabl. du règn. de Ch. VIII.)

Bellière (le vicomte de), un des assistans de Duguesclin au combat