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TABLE

GÉNÉRALE ET ANALYTIQUE
DES MÉMOIRES
RELATIFS À L’HISTOIRE DE FRANCE.
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(Nota. Les chiffres romains indiquent les tomes, et les chiffres arabes les pages.)

A

Ablon (le prêche d’) est transféré par ordre du Roi à S.-Maurice, près de Charenton, XLVIII, 8.

Abouali, émir du sultan d’Égypte, va mettre le siége devant Ascalon avec Bibars, III, 10. Se présente devant Napoulous, 11. Est nommé pour traiter avec le roi de France de sa rançon, et de la reddition de Damiette, 33.

Aboulfeda, sultan, prince de Hamah, historien arabe, III, 46.

Abraham, secrétaire du prince de Condé, est pendu en place de Grève, XLV, 120.

Achan (le capitaine) est renversé au siége de S.-Germain dans le fossé de la place, et y reste blessé jusqu’au lendemain, XIX, 484.

Aché (le seigneur d’) part de l’abbaye de Bouhourie pour aller au secours du capitaine Bedaigne, surpris à Bouhain, XIX, 443.

Acier (le baron d’) fait passer le Rhône à une armée de protestans de la Provence, XXII, 251, et la conduit vers la Guyenne, 253. (Comment. de Montluc) — Se joint à l’armée du prince de Condé, XXXIII, 434. (Mém. de Castelnau.) — Devenu duc d’Uzès et connu sous le nom de Crussol, il assiége et prend la ville de Baïs, XXXIV, 332. (Mém. de Gamon.) — Donne pouvoir aux protestans de prendre les dîmes et revenus des églises, et de les employer au fait de la guerre, 351. Est battu par le vicomte de Joyeuse devant Béziers, 352. Convient d’une suspension d’armes, et se retire à Montpellier, 353. Assiége Frontignan, qu’il abandonne, et va camper à Poussan ; fait abattre les faubourgs de Montpellier et détruire les plus anciens édifices qu’ils renferment, 354. Défend la ville, soutenu par le baron des Adrets, 356. Assiége et prend la tour appelée la Carbonnière, à Nismes ; reprend sur les catholiques le bourg de S.-Andéol, 359. Force le vicomte de Joyeuse à s’éloigner de Montpellier, 369. Signe une capitulation avec un des capitaines du fort S.-Pierre, que les protestans détruisent, 370. S’empare de Pont-Saint-Esprit, 372. Assiége